L’or noir est depuis plusieurs décennies le produit consumable par excellence en bien des points. Nous retrouvons plusieurs dérivés de ce dernier :
- Les produits légers (tel que gaz, naphtas et essences) ;
- Les produits moyens (diesel, kérosène et fioul domestique) ;
- Les coupes lourdes (fioul lourd, résidus atmosphériques).
Ces produits dérivés nous sont, dans la vie de tous les jours, très utile. Chez nous, les besoins en énergie de la population sont en majorité fossiles (nous nous référons au diesel, le kérosène, la gazoline sans plomb et fioul domestique). De ce fait, les différentes industries dans la quête de compétitivité et de distribution de livrable, ont vu l’utilisation des dérivés du pétrole prendre une place importante. Ainsi donc, une cycle établi fait sa route : commande, livraison et utilisation afin de garder le rythme.
Mais ce rythme si bien conservé est-il infaillible ?
La réponse est là, nous l’avions vécu, banques, écoles, hôpitaux, et industriels ont été obligés de s’accommoder à un mode de vie au ralenti afin de garder un semblant de rythme. Ce liquide qui rythmait le coeur de nos activités a pris de la valeur en gardant sa rareté.
Cela dit, comme prodiguer dans notre article « FINANCES ET CRISES », il serait idéal de garder ces quelques conseils :
- Mettez à jour votre budget
- Distinguez les dépenses essentielles de celles non-essentielles
- Constituez un fond d’urgence
- Éviter de trop solliciter votre compte épargne
- Solliciter de l’aide auprès des experts
Différente, certes, de ce que nous avons l’habitude de confronter, mais la situation vécue ne représente nulle autre chose qu’une crise. Avec l’impact (économico-sociale) qui reste le même ou sinon à un degré proche de ce que nous pouvons nommer l’asphyxie économico-sociale, il nous faut donc appliquer ces bonnes pratiques financières tant au niveau personnel que de nos entreprises afin de ne pas succomber à la levée de la crise.